5 questions à Léo Larrieu - jeune ingénieur en Contrôle Technique de Construction

 

 

 

A peine sorti de l’école d’ingénieur INSA Toulouse et tout juste 2 stages en bureau d’étude structure, Léo Larrieu a rejoint Alpes Contrôles et est aujourd’hui ingénieur en Contrôle Technique de Construction. Un poste qui l’intéressait mais qu’il ne se voyait pas exercer directement après son diplôme… Alpes Contrôles lui a permis de passer le cap grâce à son école d’intégration. Retour sur son expérience.

 

 

 

Qu’est-ce qui t’a attiré dans le métier d’ingénieur en Contrôle Technique de Construction (CTC) ?

que je n’ai pas eu dans les bureaux d’étude dans lesquels j’ai fait mes stages. Et le fait de pouvoir toucher à tous les aspects du secteur de la construction, ce qui est très intéressant.

 

Pourquoi as-tu choisi Alpes Contrôles ?

Ce métier m’intéressait mais je pensais l’exercer après quelques années d’expériences car c’est un métier qui demande une bonne connaissance technique. Le fait qu’Alpes Contrôles propose un cursus de 3 mois en alternance pour apprendre les bases du métier m’a rassuré.  Je me suis senti accompagné.

 

Si tu devais résumer l’école d’intégration en 3 mots ?

C’est d’autant plus important que l’on sera amenés à refaire des formations ensemble par la suite pour nos qualifications. On reste ensemble le soir, on échange beaucoup, y compris avec les jeunes coordonnateurs Sécurité et Protection de la Santé qui suivent un cursus parallèle.

 

Les modules sont animés par des chargés d’affaires d’Alpes Contrôles qui ont de l’expérience et du terrain. Ils nous transmettent chacun leur méthode de travail et leur vision du métier à travers des cas concrets.

 

On se rassure entre nous, on se pose des questions et on peut se solliciter si besoin même lorsque l’on retourne en agence.

 

Est-ce que cela correspond à l’idée que tu t’étais fait de cette école ?

à ce que l’on m’avait dit : 11 semaines en alternance école / agence avec de nombreux modules de formation différents. Les formations sont claires et permettent d’identifier pour chaque domaine d’activité les points critiques ou de vigilance à avoir.

 

Que retiens-tu de ces premiers mois au sein d’Alpes Contrôles ?

Malgré le nombre de collaborateurs (600), Alpes Contrôles reste une entreprise familiale où il y a beaucoup d’échanges et d’initiatives internes de cohésion (marathon, challenges…).

 

 

 

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