Rencontre avec …

Benoît Deplante, formateur

« Je m’épanouis dans ce que je fais. Même les stagiaires l’ont remarqué en me disant que j’avais vraiment l’air de m’éclater !« 

Alors qu’il a supervisé plusieurs apprentis lors de ces nombreuses années en tant que chef de chantier, puis en inspection levage périodique, Benoit Deplante s’est rapidement intéressé à la formation. Et pourtant, il a mis du temps à se lancer : « Le fait de partager/transmettre le savoir que j’avais m’a toujours plu. Mais je n’arrivais pas à passer le pas de devenir formateur par l’appréhension notamment de la prise de parole en public » nous confie-t-il.

 

Après échange avec une connaissance travaillant chez Alpes Contrôles, Benoit s’est finalement lancé. « On m’a affirmé – dès mes premiers échanges avec mon contact puis lors de l’entretien – que je n’allais pas passer formateur du jour au lendemain. Et effectivement, j’ai été très accompagné avec du tutorat et une mise en situation progressive pour dé-diaboliser la prise de parole. Alpes Contrôles m’a attiré pour cela : faire passer l’humain avant le business. Et cela s’est ressenti dès le début. »

 

Benoit a commencé son métier de formateur sur un module concernant les engins de chantier sur lequel il se sentait le plus à l’aise suite à ses expériences professionnelles, ce qui l’a mis en confiance. Huit mois plus tard, à sa demande, il a pu développer son scope d’intervention et encadrer des formations complètes, notamment sur les chariots, nacelles et ponts roulants. « Avoir plusieurs formations permet de varier et de découvrir d’autres profils de stagiaires (industrie, chantier, etc.), ce qui est très enrichissant. »

 

Aujourd’hui, Benoit ne regrette en rien sa reconversion : « Je m’épanouis dans ce que je fais. Même les stagiaires l’ont remarqué en me disant que j’avais vraiment l’air de m’éclater ! J’ai trouvé ma voix et je rentre le soir avec la satisfaction d’avoir fait quelque chose de gratifiant car cela permet à certains de décrocher un travail par la suite ».

 

Si la première intervention est toujours un peu dure, à partir du moment où l’on a envie de transmettre son savoir, 99% du travail est déjà fait. Le reste vient avec l’accompagnement… !