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Marion Cellier, Responsable d'Agence Nationale Formation

De Secrétaire Commerciale à Responsable d’Agence Nationale de Formation : découvrez le parcours de Marion Cellier.

 

Marion Cellier, actuellement à la tête de l’agence nationale Formation chez Alpes Contrôles, a connu un parcours professionnel marqué par une évolution progressive et significative.

En 2010, elle rejoint Alpes Contrôles en tant que secrétaire commerciale, avec pour mission de d’accompagner le lancement de la nouvelle activité de Classement des Établissements Touristiques (CET) à l’agence de Bourg-en-Bresse.

Après seulement six mois, elle évolue au poste d’assistante du Directeur commercial. Marion a ensuite occupé le rôle de chargée de l’administration commerciale, mettant en avant ses compétences administratives et son souci du détail. En 2013, elle a été promue Responsable du service administration commerciale, lui offrant la possibilité de créer et développer ce service. Cette étape l’amène à gérer des équipes et à développer ses compétences en management.

 

En 2015, Marion a été invitée à prendre la responsabilité de l’agence nationale de formation. Cette nomination a été pour elle l’occasion de relever de nouveaux défis.

 

« Après 5 ans au service commercial, de Secrétaire à Responsable, j’en avais fait le tour. L’accompagnement du public et la mission sociale de l’activité de formation ont constitué des aspects humains et sociaux qui m’ont profondément motivée. »

 

Aujourd’hui, en tant que responsable de l’agence Formation, Marion ne regrette pas son choix malgré ses doutes initiaux liés à sa condition de femme.

« Lors de la réorganisation de l’entreprise, j’ai été agréablement surprise lorsque la direction m’a proposé de devenir responsable de l’agence nationale de formation. J’ai ressenti à la fois de la peur et de l’excitation vis-à-vis de ces nouvelles responsabilités. Ce témoignage de confiance et la carte blanche donnée pour développer l’activité m’ont convaincu de sauter le pas malgré mes réflexions initiales dues à un complexe de légitimité. En effet, en étant une femme non-ingénieure j’avais peur de ne pas être à la hauteur. Aujourd’hui, je n’ai aucun regret car j’ai été très bien accompagnée sur le volet technique au démarrage de ma prise de poste. »

 

« Je constate aujourd’hui que la présence d’une femme à la tête d’une agence ou d’une activité n’est plus une surprise. Cela illustre l’évolution positive que nous avons connue, où les compétences et l’expertise sont reconnues indépendamment du genre. »